Stop – exposition du collectif Les Sorores

Exposition pour la journée de l’élimination de la violence à l’égard des femmes du 25 novembre

Les Sorores – Amande Art, Lolaura, Séverine Hettinger, Sandrine Lehagre, Rosa Gonzalez – sont à nouveau réunies ainsi que deux plasticiennes invitées – Claudia Montes & Julie Go et des artistes poétesses, slameuses, performeuses et comédiennes.

Exposition du 21 au 30 novembre 2025.
Vernissage le 21 novembre 2025.

18H30 Discours d’ouverture

18H45 Hélène Fresnel, poétesse, prix Vénus Khoury-Ghata découverte 2020, nous lira un texte sur la tendresse dans les relations en dehors des rapports de domination.

19H10-19H30 Anecdote gesticulée de Fatima Chaaban autour du handicap, du validisme et de la vulnérabilité.

19H35 Re-constituer
Action de reconstituer à l’aide d’éléments épars ce qui existe déjà ou de refaire à l’aide d’éléments nouveaux, une chose disparue. Alors, se tenir debout : reconstituer et restituer afin de reprendre constance, malgré l’abîme.

19H55 Poème de Manou Fines, autrice alemanno-algérienne, “Décennie bizarre” sur la décennie noire en Algérie et l’hypocrisie d’une paix.

20H  Pause

20H30-20H50 Anouchka Kregar comédienne et metteuse en scène de “People of Reddit” sur la vie d’Aaron Swartz, pionnier de l’internet libre, nous lira “Mémoires d’une poupée allemande” de Séverine Hettinger, pièce féministe et radicale autour de la poupée Barbie écrite 20 ans avant le film de Greta Gerwig publiée à L’Harmattan.

21H-21H30 Performance de CatMat, Kasi’Art et Slama, 3 poétesses-slameuses du collectif Slam ô Féminin qui prennent les mots à bras-le-corps et leur donnent chair et rythme contre les violences faites aux femmes dans une mise en scène épurée.

Le spectacle «T’es Bonne !» explore et dénonce de façon poétique mais lucide les dominations sur les corps et les esprits des femmes dans notre société. Partageant nos propres vécus, il s’agit aussi pour nous de donner la parole à celles qui n’en ont pas, qui n’en ont plus.
Musique : Karim AL.

21H45 “Liberté, liberté chérie” Nohmana Khalid, performance dansée, un corps libéré, une mémoire éveillée, une dignité affirmée.