Ondes de fallope

Haut lieu d’une rencontre

projet d’exposition collective proposé et mis en scène par Nicolas Cesbron

au Soixante ADADA du 3 au 27 juin 2010

date de l’installation des oeuvres : 24 mai – 1 juin 2010

Fallopia est le nom d’un habile chirurgien italien du XVIème siècle qui a donné son nom à cette antichambre de la vie embryonnaire que sont les trompes de Fallope.
Fin canal entre ovaires et utérus, c’est l’endroit de la rencontre entre ovule et spermatozoïde. Là où de l’union des contraires naît la vie. Et la mort.

Fallope

Fallope

Dans un labyrinthe d’ondulations verticales et translucides, les artistes de l’Adada proposent diverses interprétations plastiques de ce haut lieu de rencontre.
Comme les échos poétiques des ondes de Fallope.

6 comments on “Ondes de fallope”

  1. Horbo dit :

    Ça évolue, beaucoup plus sympa de la première version mais le texte est à développer. Je ne sais à qui sont les dessins… ce ne serait pas mal de continuer avec les dessins : dessins et écrits sur la perception du mouvement, labyrinthe, sens unique – sens inverse, la rencontre, la séduction, la continuité, la réussite et l’échec, doute et « certitude », etc. En fin, la trajectoire de la rencontre…

  2. henri dit :

    Les ondes de Falloppe, une expo collective pour « un Haut lieu de rencontre ».

    Une belle ambition artistique et humaine si la rencontre / confrontation d’artistes vise un succès collectif. Alors loin de moi l’idée d' »rencontre étant vouée à l’échec. »
    Le sens des mots a un sens. Choisis ton camp, camarade. Pour moi, c’est tout vu !

  3. jeembl dit :

    Je ne voudrais pas jouer les trouble-fête mais 1/ c’est jamais que de la tripe dont il s’agit…(si j’ai bien compris ma psy !) et 2/ s’agissant d’ondes avec cette connotation on pense à :

    l’ ondinisme n. m.
    ÉTYM. 1951, Piéron; de ondin, par l’angl. ondinism, t. dû à Havelock Ellis.

    ¨ Didact. Déviance sexuelle (plus fréquente chez les femmes), dans laquelle le plaisir est provoqué par la vue ou le contact de l’eau ou de l’urine, ou par la vue de la miction. è Urolagnie. | Le rôle joué dans l’ondinisme « par les fantasmes et les valeurs magiques n’est pas sans rappeler la situation de l’incendiaire face au culte du feu » (Ch. Bardenat, in Porot, 1975).
    Le Grand Robert dixit.

  4. rouzier dit :

    toujours affiche 1

  5. Lalilita dit :

    Qui est jeembl@gmail.com ? Le connaissons nous ? quelqu’un le connais?

    Qui es-tu Jeembl ?

    Drôle, intéressant d’un point de vue psycho-anthropologique. Probablement il faut être dans le coup pour faire l’association. Un pisseur ou pisseuse publique, proprement : un buveur ou buveuse d’urines … les siennes ou celles d’autrui. Outre une antique et hypothétique thérapie, c’est « une forme de la rencontre ». Pourquoi pas, et quoi encore. Si de la tripe s’agît, c’est un commencement. Jusqu’où pouvons nous aller dans le partage « magique », transportés par les émotions du sublime et du sordide?

    Les images qui par conséquent me assaillent ne sont que sur le compte de mon propre inconscient bien sûr, mais le souvenir de l’extraordinaire rencontre entre Armin Meiwes et Bernd Jürgen Brandes à Rothenbourg en 2001, me fait penser qu’il vaut mieux bien réfléchir et choisir les ondes sur les quelles nous allons danser pour le faire en connaissance cause.

    Ce texte de « jeembl », n’est pas sans me rappeler un commentaire provocateur nostalgique que nous avons eu dans notre livre d’or, en 2004 ou 2005 je crois, signé « Joseph Goebbels ». Qui s’en souvient?

    Un(e) adadien(ne) qui vous veut du bien. 🙂

  6. Emily dit :

    Ça évolue, beaucoup plus sympa de la première version mais le texte est à développer. Je ne sais à qui sont les dessins… ce ne serait pas mal de continuer avec les dessins : dessins et écrits sur la perception du mouvement, labyrinthe, sens unique – sens inverse, la rencontre, la séduction, la continuité, la réussite et l’échec, doute et « certitude », etc. En fin, la trajectoire de la rencontre…

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